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Ecole primaire de garçons Saint-Pierre, dite Ecole des frères de l'instruction chrétienne
Cette école fut construite à l'initiative de Pierre Malsou, curé de la Trinité : le corps principal et un préau en 1896, le corps sur jardin en 1906, l'aile gauche sur cour en 1907. Ces dates sont déduites des constructions neuves déclarées dans les sources cadastrales par Pierre Malsou, curé de la Trinité et fondateur de plusieurs établissements sur sa paroisse. L'école lui doit sans doute son vocable, inscrit sur un support de bois au-dessus du portail primitif, muré. Lors de son ouverture en 1897, elle est tenue par les Frères des Ecoles chrétiennes. D'après son style, elle aurait [...]

Collège de Bueil
Collège fondé en 1404, par testament de l'évêque de Sées, Grégoire Langlois. Les boursiers étudiaient le droit à Angers et venaient de la région de Passais (sud-ouest de l'Orne), lieu d'origine du fondateur, ou plus largement du diocèse de Sées. L'acquisition d'un hôtel des seigneurs de Bueil se fit en 1410, mais l'acte constitutif du collège n'intervint qu'en 1424 ; le nouvel établissement reprit communément l'appellation précédente de Bueil. Une chapelle fut édifiée et portait à son unique clé de voûte les armes du fondateur (aujourd'hui aux musées d'Angers). Au début du XVIIIe [...]

Ensemble de 2 canons
Les deux canons de 105 mm courts, modèle 1934, ont été fabriqués par l'usine Schneider du Creusot et celle de la compagnie de Saint-Chamond . Ils équipaient un groupement d'artillerie français non déterminé en 1939. Ils ont été saisis par les Allemands en 1940 et réutilisés par eux. Saisis en 1944 par les Américains, ils ont été donnés à la commune de Sainte-Suzanne pour remplacer les deux canons de 77 autrichiens qui encadraient le monument aux morts avant la guerre.

Cimetière
La décision de déplacer le cimetière situé autour de l'église a été prise le 7 octobre 1784 en application de la décision royale du 10 mars 1776. Le terrain choisi alors était nommé le Vieux cimetière. La bénédiction eut vraisemblablement lieu le 30 avril 1787 après trois années de préparation. Selon le cadastre de 1842, il était divisé en trois parties inégales : au bas, celui des mauvaises créatures, au centre, occupant la quasi-totalité de l'espace, celui des bons chrétiens, enfin, en haut, celui des enfants. L'ancien cimetière resta en place autour de l'église jusqu'à son [...]

Salle de spectacle dit Cinéma-Théâtre de la Doutre, actuellement Garage Beaurepaire
Le Cinéma-Théâtre de la Doutre est construit en 1922 pour Jean Clénet et s'ouvrait originellement au 43, rue Beaurepaire, dont la boutique était un comptoir de tabacs. Le maître d'ouvrage était mécanicien, buraliste, mais avait aussi des préoccupations sociales pour le quartier alors défavorisé de la Doutre, location et vente de logements à prix modiques, et également création d'une salle de spectacle pour fournir des distractions aux habitants de ce quartier. Pour autant, l'établissement périclite rapidement et n'apparaît déjà plus dans les annuaires de Maine-et-Loire dès le début des [...]

Monument aux morts : trois soldats
La plaque du monument aux morts de la Première Guerre mondiale fut d'abord fixée au centre du tympan du portail de l'église, puis elle en fut déplacée car il n'était pas facile d'aller y placer la gerbe lors des commémorations. Un monument fut alors contruit dans les années 1970 et décoré par un habitant de la commune, monsieur Blanchard. Il fut ensuite repeint au milieu des années 1990 par monsieur Reux dans un style quelque peu différent du premier.

Ensemble de 4 bouquets d'autel
Les bouquets d'autel ont été fabriqués à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle.

Ciboire des malades
Le ciboire des malades a été fabriqué après 1838 par l'orfèvre parisien Demarquet Frères.

Calice
Le calice a été fabriqué entre 1819 et 1838 par l'orfèvre parisien F. J. Bertrand. La coupe a été remplacée après 1838.

Ensemble de 3 cloches
La cloche la plus ancienne a été fabriquée en 1764, vraisemblablement par Le Brun, fondeur de cloches, les deux autres l'ont été par le fondeur de cloches manceau Ernest Bollée en 1863 pour un montant de 9000 Francs.